lundi 28 décembre 2015

Mesures et expériences énergétiques sur l'eau avec la technologie GDV

Pourquoi :


Suite à la visite de la grotte de Lourdes,  et ressentant l’énergie du courant tellurique dans sa grande force, j’ai décidé de ramener de l’eau de Lourdes afin de la tester avec la technologie GDV, de pousser l’étude en comparant la vibration de cette eau avec celle du Mont St-hilaire qui est un lieu de haute vibration et de réharmoniser la qualité vibratoire de l’eau du commerce avec des plaques spéciales vendues dans le commerce.


Grotte de Lourdes

Des premières mesures avaient été faites par Masaru Emoto par la cristallisation de l’eau :

«Dans son livre ‘Messages de l’Eau’, Masaru Emoto nous parle du « HADO », synonyme de chi en japonais, qui signifie « monde des énergies subtiles, relié à la conscience » ou « Énergie Universelle ». Au début de ses recherches sur l’Eau, il a eu l’intuition  qu’on pouvait mesurer et visualiser ce « Hado ». Il y a réussi en 1994, et nous livre de magnifiques photos de cristaux d’eau gelée, tous différents les uns des autres, comme le sont les flocons de neige, suivant les informations auxquelles l’eau a été exposée  (mots, musiques, photos…). Il a pu ensuite mesurer la pureté des eaux des rivières, des lacs,  l’eau du robinet et des sources curatives du monde entier.»[i]


La technologie GDV (Visualisation par décharge gazeuse) a été mise au point par le professeur K Korotkov, «c’est une application pratique de la nouvelle orientation fondamentale des sciences biomédicales : la biophysique informationnelle quantique».  Cette technologie est repartie des travaux du chercheur russe K. Kirlian où à partir de photos faites en chambre noire soumises à de forts champs électriques on peut photographier les halos d’énergie des objets / personnes.  La technologie GDV utilise une imagerie électro-photonique.   Cette méthode consiste à envoyer de courtes impulsions électriques pour obtenir une émission de photons et d’électrons de la surface à étudier. Ces impulsions sont de l’ordre de micro-ampères et sont non dangereuses.  Cette émission donne une forme de halo autour de la surface  permettant ainsi d’évaluer la vitalité énergétique par la force de l’émission obtenue,   l’interprétation des champs d’énergie psychoémotionnelle et physique, la visualisation de la perte ou en excès de l’énergie des organes et du corps humain, des calculs d’indice d’anxiété, de la luminescence, etc.


Dans le cadre de cette étude, j’ai utilisé une sonde spéciale que l’on met dans l’eau et laissée pendant 30 minutes. 



Mesures de la qualité vibratoire des eaux


L’eau de Lourdes mesurée ne sort pas hélas directement de la source, elle a été conservée dans une bouteille de verre entourée dans du papier aluminium pendant 4 mois.  Par contre l’eau de la source du Mont St-Hilaire est issue de la source avec 24h de conservation uniquement. L’eau de source indiquée dans les graphiques provient d’une bouteille d’une marque donnée dont je tairais le nom. 


Lors de la mesure énergétique de l’environnement, l’appareil nous donne trois mesures :

  •          La zone (area) : la quantité de photons présente ou la variation du taux vibratoire / longueur d’onde d’après Stéphane Cardinaux, Gébiologue et bioénergéticie

  •          Intensité en R.U : puissance des photons émis ou la puissance énergétique / Intensité de l’onde aussi d’après Stéphane Cardinaux

  •          Énergie en Joules : Est déterminé suivant les deux valeurs précédentes.


En comparant l’eau de ville, l’eau en bouteille et l’eau de Lourdes, on voit encore clairement la qualité vibratoire de cette dernière malgré qu’elle a été stockée pendant 4 mois. Par contre l’eau en bouteille est bien décevante par rapport à l’eau de la ville; est-ce le transport, stockage (bouteille en plastique) qui fait perdre la qualité vibratoire de l’eau de source en bouteille ?






En comparant les mesures avec l’eau du Mont st-hilaire, on voit que cette dernière a des qualités vibratoires à ne pas négliger, ce qui n’est pas surprenant vu qu’elle est traversée par un courant tellurique avec présences de vortex. À quand une station curative au mont  St-Hilaire ;-)



Tests avec des plaques énergétiques


Plaque d'Énergie pourpre Tesla

Cette plaque en aluminium a subi un traitement spécial selon le Brevet de Nikola Tesla. Elle est comme une carte de crédit  de couleur pourpre. En 1901 Nikola Tesla dépose un Brevet pour la confection d'une Plaque d'énergie pourpre.  110 ans après la Plaque d'Énergie pourpre de Nikola Tesla voit enfin le jour. La couleur couleur pourpre (ou violette) n'a pas été choisie au hasard par Nikola Tesla mais par nécessité. En effet, cette couleur correspond au chakra coronal (Shasrara) situé au sommet du crâne. Le pourpre violet correspond à l'association des couleurs rouge et bleue.
J’avais des doutes personnellement sur cette plaque car pour ma part, je n’ai aucun ressenti lorsque je la tiens dans ma main, mis à part le froid de l’aluminium.


Plaque bioresonateur – psychotronique


La plaque bioresonateur est une nouvelle technologie d’un médecin russe , Victor Vergun , et son équipe de scientifiques. Les dispositifs qu'ils ont créés sont de petites cartes imprégnées d'une nouvelle technologie fractale. Ces cartes sont utilisées en Russie pour régénérer dans le domaine de l'énergie, y compris pour réharmoniser de l'eau à sa version primitive à la source.
Étant donné que ces cartes interagissent avec les facteurs psychotroniques , il est difficile de les tester à une normale laboratoire. Le terme psychotronique est l'appellation slave pour parapsychologie et métapsychique, avec une consonance plus technique.
La psychotronique s'est développée en Russie et dans les pays de l'ancien bloc soviétique durant la guerre froide.



En prenant cette plaque dans les mains, on ressent une grande énergie et difficile de cerner si elle est bonne ou non. Il existe aussi des grandes plaques pour réharmoniser une pièce, cela sera dans une prochaine étude.

Résultats


Chacune des plaques a été mise sous la bouteille pendant trente minutes avant la mesure pour être sûr que l’eau soit imprégnée de la vibration de la carte.





Les résultats sont quand même assez parlants, les deux cartes ont remonté le taux vibratoire de l’eau. Ce serait vraiment intéressant de voir avec la technique Masaru Emoto si l’eau aurait récupéré une belle structure cristalline.

Conclusion


Afin de confirmer la véracité de ceci, il faudrait refaire plusieurs fois ces tests car je me suis rendu compte lors des mesures que la sonde était très sensible à différents facteurs celle de l'eau mais aussi les conditions météorologiques affectant la qualité vibratoire de celle-ci. On peut quand même conclure que l'eau de Lourdes a des vertus particulières et que celle du Mont St-Hilaire serait à explorer. L'eau de source de bouteille n'est pas plus vivante que celle issu du robinet.. Pour les plaques le résultat est quand même assez concluant mais des tests seraient à refaire pour confirmer le tout. 



[i] http://messagesdelanature.ek.la/les-cristaux-d-eau-de-masaru-emoto-c371456





mercredi 23 décembre 2015

Géobiologie sacrée - Étude géobiologique de l’oratoire Saint-Joseph

Dans le cas de nos études  géobiologiques avec l’École de la Terre , nous avons décidé d’étudier l’Oratoire St-Joseph, bien que  nous disais qu’il pas difficile d’accès car il était surveillé. Enfin de compte, le site s’est ouvert à nous où nous avons plus étudié des salles sans être dérangés pendant plusieurs dizaines de minutes. Ces résultats sont par rapport à nos ressentis personnels, certains méritent d’être reconfirmé, car nous ne pouvions toujours pas utiliser notre matériel de géobiologie et nous n’avons pas plus exploré l’extérieur à cause du vent froid. 

La basilique



Le premier sentiment a été des picotements dans la main dès qu’on rentre dans la salle, on sent que l’énergie est élevée, un vortex est présent à l’entrée, on a un taux de 50 000 à 70 000 UB. Plus on se rapproche de la coupole et plus le taux est fort.  En s’asseyant  le plus proche de la coupole, on ressent des picotements montés dans les jambes, signe d’un courant tellurique, accompagné d’un mal-être lié au niveau du plexus, signe de mémoires négatives ou formes pensées négatives, laissées par les pèlerins amenant et déposant leurs souffrances pour une rédemption certaine (les premières églises faisaient les offices avec de l’encens, on retrouve encore cette tradition chez les Orthodoxes, cela n’était pas pour rien).  En allant s’assoir directement sous la voute, on sent une plus grande légèreté, cela vibre à 270 000 UB,  un ley line ou/et en lien avec un courant tellurique passe directement ici.

En passant le chœur de la basilique,  de chaque côté dans les couloirs, une cheminée de chaque bord se trouve, une positive et une négative.

La cheminée positive étant du côté de la relique de Frère St-André.  Est-ce des cheminées venues par elle-même afin de répondre à la loi de l’équilibre, ou elles ont été amenées volontairement (?) bien que le site ne démontre aucune connaissance particulière de l’architecture sacrée.

Cheminée positive dans le couloir à côté de la relique du frère St-André

Reliquaire du frère André

Nous avons visité ensuite la salle où se trouve le cœur du frère St-André,  pas besoin d’instruments pour ressentir cette vibration, sensation de chaleur de picotements dans les mains, après mesure, on trouve une vibration thérapeutique de 720 000 UB.   Le cœur chapelle et support de la fusion de notre petit soi et soi supérieur, le frère André était surement un être hors du commun…




Petite chapelle du frère St-André




On retrouve le courant tellurique et le ley line dans la petite église du frère André où des miracles ont eu lieu. L’énergie est de 450 000 UB.  On retrouve cette configuration à Lourdes où un courant tellurique touche une source d’eau reconnue mondialement pour ces guérisons. Ce courant tellurique s’oriente vers l’ancienne église Notre-Dame de Montréal et vers le mont St-Bruno..

Petite chapelle du frère St-André

Cartographie